Généalogie de la famille de PRELLE de la NIEPPE

Michel Licot dit de Nismes

Name
Michel Licot dit de Nismes
Given names
Michel
Surname
Licot
Name suffix
dit de Nismes
Baptism of a sisterMarie Thérèse “Eugénie” Licot dite de Nismes
February 7, 1786
Address: Parrain: Reverendus Dominus Jacques-François-Joseph Remy, chanoine de Saint-Germain à Mons. Marrain: Domina Marie-Thérèse-Laurence Licot, dame de Chooz.
Marriage of a siblingAuguste Joseph Bauchau dit de MoulinsMarie Thérèse “Eugénie” Licot dite de NismesView this family
April 26, 1807
Death of a fatherMaître Jacques “Michel” Joseph Licot
1832

Death of a motherEmérence Thérèse Boucquiau
1832

Death of a sisterMarie Thérèse “Eugénie” Licot dite de Nismes
June 13, 1865
Burial of a sisterMarie Thérèse “Eugénie” Licot dite de Nismes
June 16, 1865

Cemetery: Anhée, Namur, Belgique
Note
Auguste Licot dit LICOT DE NISMES (à partir de 1876) Chimay 03/01/1827, Bruxelles 05/07/1881 Neveu d’Eugénie Licot-Bauchau et fils de Michel Licot (1783-1855), maître de forges à Chimay, Auguste (ou Augustin) Licot est le frère d’Alphonse (1825-1893), de Marie (1829-1890) et d’Anna (1830-1920). L’aîné des Licot est l’un des fondateurs de la Royale Belge ; Marie, quant à elle, épouse Charles Hennequin de Villermont, financier avec lequel Auguste Licot se lance dans les affaires, en compagnie d’Auguste Dumon, industriel, ministre des Travaux publics (1855-1857) qui a épousé Anna. C’est donc avec ses beaux-frères qu’Auguste Licot participe aux projets du groupe familial Villermont-Licot qui cherche à se développer dans le secteur des chemins de fer, mais surtout à créer une grande banque catholique à Rome, voire un important instrument financier catholique, sans beaucoup de succès. Ayant hérité d’une partie du patrimoine familial constitué à partir d’une importante activité dans les forges de Chimay, de Nismes, de Rance et de Couvin, Auguste est davantage financier et hommes d’affaires qu’industriel. Comme sa tante, il a tôt compris que les activités de l’Entre-Sambre-et-Meuse n’avaient plus guère d’avenir face aux avantages présents à Charleroi. Quittant Nismes, ses forges et ses hauts-fourneaux, il va contribuer à la naissance des usines de La Providence dans le bassin de Charleroi et goûter brièvement à la politique. Entre juin 1856 et décembre 1857, il est un éphémère député catholique de l’arrondissement de Thuin. N’exerçant pas d’autre mandat public, il se consacre à ses affaires : vice-président de la Compagnie du chemin de fer de Chimay et de la Société agricole et forestière de la province de Namur (1857), administrateur de la SA pour la fabrication de l’Acier par le procédé Chenot en France, il est encore administrateur de la Société du Canal de Blaton à Ath et de la Dendre canalisée. Sa fortune lui permit de construire un important château, au bord de l’Eau noire, sur le site de l’ancienne cense de Maugré. Hervé DOUXCHAMPS, La Famille Bauchau, vol. II, Bruxelles, 2003, Recueil de l’Office généalogique et héraldique de Belgique, t. LIII, p. 507-508 Ginette KURGAN, Serge JAUMAIN, Valérie MONTENS, Dictionnaire des patrons en Belgique, Bruxelles, 1996, p. 62, 361 Jean-Luc DE PAEPE, Christiane RAINDORF-GÉRARD (dir.), Le Parlement belge 1831-1894. Données biographiques, Bruxelles, 1996, p. 398-399 Paul Delforge, décembre 2013 Source: http://connaitrelawallonie.wallonie.be/fr/wallons-marquants/dictionnaire/licot-auguste#.XzpAV-gzaUk