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Mariage | 23 novembre 1899
| Objet média | Armes de la famille de Prelle de la Nieppe Format : image/png Dimensions de l’image : 800 × 974 pixels Taille du fichier : 833 Ko Type : Armoiries Image principale : oui Note: Gironné d’or et de gueules de dix pièces, chaque giron de gueules chargé de trois croix recroisettée… Gironné d’or et de gueules de dix pièces, chaque giron de gueules chargé de trois croix recroisettées au pied fiché d’argent ; au chef d’argent chargé de trois étoiles à six rais de gueules.
Heaume : couronné
Cimier : une aigle issante d’or
Lambrequins : d’or et de gueules
Devise : raison partout
Armes modélisées par Arnaud de Prelle sous inkscape 201204
© genealogie.deprelledelanieppe.be 2012 Note: PRELLE de la NIEPPE (de) PRELLE de la NIEPPE (de)
ARMES : gironné de dix pièces d'or et de gueules, chaque giron de gueules chargé de trois croisettes recroisettées au pied fiché d'argent, les pieds dirigés vers l'abîme ; au chef d'argent chargé de trois étoiles à six rais de gueules. Heaume d'argent couronné. Lambrequins d'or et de gueules. Cimier : une aigle issante d'or.
BIBLIOGRAPHIE :
- Annuaire de la Noblesse de Belgique 1890, I, 154 ; et passim ab 1862, 161.
- Vicomte Roger de Prelle de la Nieppe, Les seigneuries suzeraines de la Nieppe et Berlette et leurs vicomtes (1931).
- René Goffin, Généalogies nivelloises, I, 162.
- Poplimont, La Belgique héraldique, IX, 55-60.
- Xavier de Ghellinck, Armorial et historique des Alliances, III, 117.
- Edgar de Prelle de la Nieppe, Epitaphier de Nivelles, 30-34, extrait des "Annales de la Société archéologique de l'arrondissement de Nivelles, IV (1891).
- Troostembergh, Quarters, II, 538. Publication : Collection "ETAT PRESENT" a.s.b.l.
Bruxelles Détails de la citation : Tome XV, p.75 Date d’entrée dans le document original : 1967 Qualité des données : source primaire Note: Prelle (de) (anciennement Compère de Presles) Gironné de dix pièces d'or et de gueules, chaque … Prelle (de) (anciennement Compère de Presles) Gironné de dix pièces d'or et de gueules, chaque giron de gueules chargé de trois croisettes recroisettées au pied fiché d'argent, les pieds dirigés vers l'abîme, au chef du même, chargé de trois étoiles du second. Casque couronné.
Source: J.B. Rietstap et ses compléments. Qualité des données : source primaire Note: PRELLE de la NIEPPE (de) (Feluy, comté de Hainaut). 1499. PRELLE de la NIEPPE (de) (Feluy, comté de Hainaut). 1499.
Issue de Jehan Compère, suppléant des échevins de Feluy dès 1499, mayeur de Feluy, mayeur de l'Escaille et du Croquet, époux de Grégoriette de Somaing. Son fils Jehan Compère dit de Prelle est échevin et bailli de Feluy. Charles de Compère dit de Prelle, écuyer, son fils Antoine, mort en 1644, et son petit-fils Emmanuel (1629-1700) sont baillis d'Aiseau.
Charles de Prelle dit Compère (1631-1698) est capitaine de cuirassiers en 1667, Edgar de Prelle de la Nieppe (1854-1915) est conservateur au Musée Royal d'armures de Bruxelles.
Trois veneurs à la vénerie royale de Boitsfort au XVIIe siècle, deux baillis de Châtelet aux XVIIe et XVIIIe siècles.
Seigneurs de Picquendaele, la Nieppe et Berlette.
Reconnaissance de noblesse en 1823.
A consulter : René Goffin, Compère, Coppe et de Prelle, dans Généalogies Nivelloises, 1951, page 162.
Source: Anciennes Familles de Belgique, Jean-François Houtart, Association Royale Office Généalogique et Héraldique de Belgique, p. 127, 2008. PRELLE.
Gironné d’or et de gueules de dix pièces, chaque giron de gueules chargé de trois croix recroisettées d'argent ; au chef d’argent chargé de trois étoiles à six rais de gueules. Heaume couronné. Cimier : une aigle d'or issante.
Le Carpentier nomme parmi les familles patriciennes de la ville de Cambray les Compère de Presles (Hist. de Cambray et du Cambrésis, p. 270). A la page 676, il cite Eustache Compère de Presles, écuyer, bailli de Saint-Aubert.
Le 2 mars 1668 les hérauts d'armes Jean Bouhelier et Jean de Launay signèrent une déclaration de noblesse où ils faisaient descendre, par bâtardise, les Compère établis au wallon Brabant de la maison d'Enghien d'Havré. C'est sans doute l'écu des Compère, gironné comme celui de la maison d'Enghien, qui leur inspira ce rapprochement. Ils rattachaient, en même temps, les Compère du Brabant aux Compère de Presles du Cambrésis. Au commencement du dernier siècle, le roi d'armes van Berckel, plus consciencieux pourtant que le trop fameux Jean de Launay, confirma cette filiation qui fut de nouveau constatée par les hérauts d'armes en 1775.
Sans remonter à des temps plus reculés, nous dirons que la famille Compère, connue depuis sous le nom de de Prelle, était honorablement établie à Nivelles au milieu du seizième siècle.
On voyait ses armes en plusieurs lieux: "sur une verrière à la maison portant pour enseigne aux trois Pucelles, sur le Grand-Marché ; à l'église de Sainte-Gertrude sur les volets d'un tableau représentant l'Adoration des rois mages : une inscription portant la date de 1557 rappelait que ces armes étaient celles de mademoiselle Isabeau Compère ; sur une verrière à l'église de Notre-Dame avec la date de 1545 ; à l'église des Jésuites, ci-devant paroisse de Saint-Georges, sur une verrière avec la date de 1550 ; à l'église des Récollets sur le tombeau de François van den Hofstadt dit Tenremonde, seigneur de Bornival, mort 27 janvier 1545." (Attestation du notaire Del Estienne, à Nivelles 3 février 1702.)
Ces armes étaient figurées de la manière suivante : Écartelé ; au 1 de de Prelle, comme il est blasonné en tête de cet article ; au 2 d'azur au chevron accompagné de trois trèfles d'argent ; au 3 d'or à la hure de sanglier au naturel ; au 4 d'argent à la fasce de gueules accompagnée en chef de trois merlettes rangées du même.
A l'église du village d'Arquennes, près de Nivelles, on voyait sur un ancien tableau les armoiries en losange de la donatrice : mi-parti de Compère comme nous venons de le voir et mi-parti d'azur à la croix d'argent. (Attestation donnée à Nivelles 27 juin 1714 par le notaire du Houx, qui déclare de plus " avoir vu l'original en parchemin d'un acte passé devant les mayeur et échevins de Jumet près de Gosselies 28 mars 1583, où se voit que Jean Compère avait été conjoint avec Suzanne de Bousies dite de Vertain").
Source: Annuaire de la noblesse de Belgique 1862, pp. 161-163. Note: Cette famille, anciennement Compère de Presles, originaire du Cambrésis, est citée par le Carpentier… Cette famille, anciennement Compère de Presles, originaire du Cambrésis, est citée par le Carpentier, page 270, au nombre des plus anciennes familles de Cambrai. A la page 676, il mentionne qu’Eustace Compère de Presles, écuyer de saint Aubert, est cité dans deux chartes de l’abbaye de saint Aubert des années 1493 et 1500.
Une déclaration de noblesse des hérauts d’armes Jean Bouhelier et Jean de Launay, en date du 2 mars 1668, porte que les Compère établis au Brabant wallon sont issus, par bâtardise de la maison d’Enghien d’Havré et se rattachent aux Compère de Presles du Cambrésis. Cette attestation fut confirmée par le roi d’armes van Berckel, au commencement du XVIIIe siècle et plus tard, en 1775, par les rois d’armes de la contrée.
Les Compère, uniquement connus aujourd’hui sous le nom de de Prelle, sont honorablement établis depuis le XVIe siècle à Nivelles, où l’on retrouve leurs armes, ainsi qu’à l’église du village d’Arquennes.
A Nivelles, ces armoiries se distinguaient d’abord sur une verrière de la maison portant pour enseigne : Aux trois Pucelles, sur le grand marché.
A l’église de Sainte-Gertrude, les armoiries de mademoiselle Isabeau Compère étaient figurées avec la date de 1557 sur les volets d’un tableau représentant l’Adoration des rois mages.
On les voyait encore : avec la date de 1545, sur une verrière de l’église de Notre-Dame ; avec la date de 1550, sur une verrière de l’église des Jésuites, d’abord paroisse de Saint George; enfin, à l’église des Récollets, sur le tombeau de François van den Hofstadt dit Tenremonde, seigneur de Bornival, mort le 27 janvier 1545.
Ces diverses indications ont été attestées, sous le sceau de son office, par le notaire Del Estienne, à Nivelles, le 3 février 1702.
Quant aux armoiries placées dans l’église d’Arquennes, elles étaient peintes en losange sur un tableau ; mi parti Compère, mi parti d’azur à la croix d’argent.
Le notaire du Houx qui l’atteste à Nivelles, le 27 juin 1714, déclare en outre avoir vu «l’original en parchemin d’un acte passé devant les mayeur et échevins de Jumet près de Gosselies, du 28 mars 1583, où se voit que Jean Compère avait été conjoint avec Suzanne de Bousies, dite de Vertain. »
Source: La Belgique Héraldique, Poplimont. Note: PRELLE DE LA NIEPPE (de) PRELLE DE LA NIEPPE (de)
Armes : gironné d'or et de gueules de 10 pièces, chaque giron de gueules chargé de 3 croisettes recroisettées au pied fiché d'argent, au chef d'argent chargé de 3 étoiles à 6 rais de gueules. Heaume : couronné. Cimier : une aigle d'or issante.
La devise de cette famille, qui n'est pas mentionnée dans l'armorial hollandais est : Raison partout.
L'annuaire de 1862 (p. 161) a donné de la généalogie de cette famille la partie qu'il avait été possible de vérifier à cette époque. Depuis lors, nous appuyant sur les travaux de Butkens, de Laurent Le Blond et sur un manuscrit découvert chez M. Crombez, l'ancien bourgmestre de Tournay, et déposé à la bibliothèque de cette ville, nous aidant des pièces réunies dans le but de vérifier certaines assertions aventureuses des hérauts d'armes de Launay et Bouhelier, nous nous sommes mis à même de présenter cette année un travail soigneusement étudié.
I. André Compère, dit de Prelle, avait sans doute un frère établi dans la même ville, car nous relevons des alliances qui indiquent qu'à l'époque où commence cette généalogie il y avait d'autres personnages que ceux que nous mentionnons.
Il portait, selon le manuscrit de Tournay, de gueules au chef d'argent chargé de 3 étoiles à 6 rais de gueules.
Il épousa Marie d'Havrech-Enghien, portant gironné d'or et de gueules de dix pièces, chaque giron de gueules chargé de trois croisettes recroisettées au pied fiché d'argent. C'est la combinaison de ces armoiries qui donna naissance à l'armoirie actuelle. Cette manière de créer des armoiries nouvelles était très commune à cette époque et se retrouve souvent dans les familles qui ont un chef, un coupé ou un parti.
Source: Annuaire de la noblesse de Belgique de 1890, pp. 154-155. Note: Noblesse belge d'aujourd'hui: Volumes 1 à 2 (Blaise d'Ostende à Arlon) Noblesse belge d'aujourd'hui: Volumes 1 à 2 (Blaise d'Ostende à Arlon)
de Prelle de la Nieppe
Venu du Brabant, Charles Compère, bailli d'Ayseau, se disant fils d'une Bousies, eut Antoine dont le fils devint Charles de Prelle.
Reconnus nobles en 1823, nous ne savons sur la base de quoi.
Les lecteurs de l'Eventail, organe mondain et non juridique, ont pu lire le 29 juin 1930 le texte suivant: " Après décision française judiciaire du 7 juin 1930, ont été visées et enregistrées par le ministre de la Justice agissant par délégation du garde des sceaux et par le ministère des Affaires étrangères à Paris, les reconnaissances du titre de vicomte en faveur de Roger, Alain et Reginald de Prelle de la Nieppe, descendants respectivement aux quatrième et cinquième degrés de Hyacinthe-François de Prelle, vicomte de la Nieppe et de Berlette.
D'après la convention franco-belge, les décisions des cours et tribunaux rendus en matière civile dans l'un des deux Etats, ont dans l'autre l'autorité de la chose jugée."
Relevons simplement les erreurs juridiques de ce texte:
1. Le ministre de la Justice étant garde des sceaux ne peut et ne doit pas se donner délégation à lui-même.
2. Les seigneuries de la Nieppe et de Berlette étaient vicomtières donc de moyenne justice mais n'entraînait (sic) pas un titre de vicomte pour ses propriétaires.
3. En tous cas, il ne pouvait y avoir qu'un seul vicomte, à supposer qu'il y en eut un, quod non, c'est le possesseur du fief.
4. On pouvait être régnicole des Pays-Bas et relever un fief en France et vice versa en vertu du traité de Cambrai de 1529 (…)
5. D'après la convention franco-belge, les décisions judiciaires ne sont exécutoires dans l'autre pays qu'après exéquatur, et celle-ci est refusée si la décision est contraire à l'ordre public, ce qui est patent en l'espèce puisque le seul tribunal compétent pour statuer sur le statut personnel de Belges domiciliés en Belgique est celui de leur domicile.
6. Même en droit français, le tribunal français qui a rendu ce jugement est incompétent, a fortiori l'exéquatur est impossible ; et il serait curieux de savoir quel tribunal s'est montré aussi ignorant du droit…
Nous croyons d'ailleurs que même les de Prelle de la Nieppe en sont convaincus car ils n'ont jamais osé porter leur titre de vicomte en Belgique, et sont restés "compères" comme devant. Note: Familles nobles de Belgique d'origine française (cinquième article). Familles nobles de Belgique d'origine française (cinquième article).
PRELLE.
Cette famille, une des plus anciennes du Cambrésis, était connue primitivement sous le nom de Compère de Presles, d'après Le Carpentier, qui, dans son Histoire de Cambrai, mentionne Eustace Compère de Presles, écuyer, comme figurant dans deux chartes de l'abbaye de Saint-Aubin, des années 1493 et 1500.
Jean Delaunay et Jean Bouhelier, hérauts d'armes, disent, dans une déclaration de noblesse en date du 2 mars 1668, que les Compère, établis dans le Brabant-Wallon, sont issus par bâtardise de la maison d'Enghien d'Havré, et se rattachent aux Compère de Presles du Cambrésis. Ils ne sont plus connus aujourd'hui que sous le nom de de Prelle. Jean-Charles de Prelle, seigneur de Berlette, né à Saint-Omer en 1669, s'établit à Nivelle (sic). L'aîné de ss fils, Charles-Simon-Ghislain de Prelle, né en 1702, capitaine au régiment de Starhemberg, fut tué dans la guerre contre les Turcs, le 4 juillet 1738. Le plus jeune, Hyacinthe-François-Bernard de Prelle, né à Nivelles en 1711, continua la descendance, qui a fourni deux rameaux. L'un était représenté de nos jours par Emmanuel de Prelle, conseiller à la cour d'appel de Bruxelles ; l'autre, par Auguste de Prelle, juge de paix à Nivelles, décédé le 23 mai 1865, dont le fils aîné, Arthur de Prelle, a épousé à Anvers, en 1859, Caroline-Marie Gheyssens.
Armes: gironné d'or et de gueules de dix pièces, chaque giron de gueules chargé de trois croix recroisettées d'argent ; au chef d'argent, chargé de trois étoiles à six raies (sic) de gueules.
Il y avait en Normandie une famille de Prelle dont le nom s'écrivait aussi Prael, orthographe qui semblerait indiquer une origine flamande ou brabançonne. En 1696, Jacques du Prael, écuyer, sieur de Maubré, et Guillaume du Prael, écuyer, prêtre-curé d'Amfreville, firent enregistrer leur blason dans l'Armorial général de France (registre de Caen) : d'argent, au chevron de sable, accompagné de trois trèfles de même. (Voyez pl. C. U.)
Source: M. Borel d'Hauterive, Annuaire de la Noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe, 1883, p. 197. Qualité des données : source non fiable | Objet média | Armes de la famille Dewandre Format : image/png Dimensions de l’image : 800 × 879 pixels Taille du fichier : 150 Ko Type : Armoiries Note: Coupé de gueules et d'azur à la fasce d'or brochante, accompagnée en chef d'une aigle… Coupé de gueules et d'azur à la fasce d'or brochante, accompagnée en chef d'une aigle bicéphale d'argent et en pointe de trois étoiles rangées du même.
Armes modélisées par Arnaud de Prelle à partir d'éléments de Wikimedia 20140609. Note: M. DEWANDRE, Bruno, né à Waulsort, le 7 mai 1945 : coupé de gueules et d'azur à la fasce d'… M. DEWANDRE, Bruno, né à Waulsort, le 7 mai 1945 : coupé de gueules et d'azur à la fasce d'or brochante, accompagnée en chef d'une aigle bicéphale d'argent et en pointe de trois étoiles rangées du même.
L'écu surmonté d'un heaume d'argent, grillé, colleté et liseré d'or, doublé et attaché de gueules, aux bourrelet et lambrequins d'azur et d'argent.
Cimier : une fleur de lis d'argent.
Dévolution : pour lui-même et ses descendants porteurs du nom ainsi que pour tous les descendants porteur du nom qui le souhaitent issus de François de WANDRE (1661-1737) et de Helwide LOLY († 1742).
Moniteur belge : 26 août 2013, p. 56337, N°69.
Date d'enregistrement : 12 janvier 2013.
Le Parchemin, 1999, pp. 41-47.
Source: Jean-Paul Springael, Armoiries de personnes physiques et d'association familiale en communauté française, 2012-2013, une édition de la Direction du Patrimoine culturel, Fédération Wallonie-Bruxelles, pp. 78-79. Note: NOTE EXPLICATIVE SUR LE BLASON DEWANDRE NOTE EXPLICATIVE SUR LE BLASON DEWANDRE
ENREGISTRE A L’OFFICE GENEALOGIQUE ET
HERALDIQUE DE BELGIQUE
”Coupé de gueules et d’azur à la fasce d’or brochante, accompagnée en chef d’une aigle bicéphale d’argent et en pointe de trois étoiles à cinq rais rangées du même”
Préliminaire
Pour l’origine du blason de la famille Dewandre enregistré à l’O.G.H.B., il y a lieu de remonter la généalogie jusqu’à notre aïeul François de Wandre né à Mortier (près de Liège) le 29 avril 1661, décédé à Liège le 18 août 1737, fils de Winand de Wandre, et époux d’Hélène Loly.
François de Wandre exercait le métier de “drapier”, il a eu, entre autres, deux fils:
1/ l’un se nomme Martin, né à Liège le 9 févr. 1687, y + 17 sept. 1763.
Ce Martin a eu un fils nommé Michel et un petit-fils nommé Pierre qui fut Conseiller-Régent à la Ville de Liège et sur qui il existe également de nombreux documents (Bibliothèque « Les Chiroux » et Bibliothèque de l’Université).
2/ l’autre se nomme François-Joseph, né à Liège le 14 nov. 1691, y + 20 janv. 1773.
Ce François-Joseph a eu un fils nommé Henri-Joseph et un petit-fils nommé également François-Joseph qui devint le célèbre sculpteur dont de nombreux ouvrages lui sont consacrés (Archives de l’Etat et Musée des Beaux-Arts).
Donc, la branche François-Joseph et la branche Pierre sont cousins sous-germains et ont comme aïeul commun François, fils de Winand.
Le Blason Dewandre
L’original du Blason « ancien régime » que la Commission de L’O.G.H.B. a enregistré lors de sa réunion du 10 janvier 1998, se trouve dans un document manuscrit datant des années 1780 et qui est conservé à la Bibliothèque « Les Chiroux » de la Ville de Liège sous le code MS435.
Ce document MS435 est le « livre des Métiers » de Michel de Wandre. En première page, on trouve l’original du Blason. Toutes les autres pages ont en en-tête le blason du métier dont il est question et ensuite le texte spécifiant l’appartenance au métier et octroyant la jouissance des chartres et privilèges.
Il y a lieu de noter qu’à la page 14 du manuscrit (la page du métier de drapier), on se trouve en présence d’une attestation certifiée copie conforme à l’original spécifiant l’appartenance de François de Wandre, fils de Winand au bon métier de Drapier en 1685. A noter également que le blason du métier de drapier est un aigle bicéphale d’argent.
Or le blason original de la première page contient dans le tiercé en chef un aigle bicéphale d’argent. On peut dès lors, sur base de ce document de la page 14, penser que l’origine du blason se trouvant en première page du livre des métiers de Michel de Wandre remonte bel et bien à l’aïeul commun François de Wandre, fils de Winand. Le contenu de la page 14 du livre des Métiers montre incontestablement cette liaison.
En conséquence,en date du 10 janvier 1998, l’ O.G.H.B. a enregistré et officialisé ce blason comme celui de la famille Dewandre et comme appartenant à tous les descendants de François de Wandre, fils de Winand à savoir les descendants de la branche François-Joseph, Henri-Joseph, François-Joseph et les descendants de la branche Martin, Michel, Pierre.
Il est important de signaler qu’il existe de nombreuses études et notices généalogiques qui établissent clairement la descendance de François-Joseph, sculpteur; par contre, aucun document ne reprend la descendance de Pierre, s’il il y en a une ou eu une.
La description de ce blason est : « coupé de gueules et d’azur à la fasce d’or brochante, accompagnée en chef d’une aigle bicéphale d’argent et en pointe de trois étoiles à cinq rais rangées du même ».
P.S. Le blason « d’azur à trois poissons et trois étoiles » qui fut porté longtemps par les descendants de Bathel Dewandre, ne peut plus être retenu comme blason de la famille Dewandre et cela pour deux raisons.
1/ Ce blason a été, en 1954, enregistré officiellement par l’O.G.H.B. au nom de la famille Grisard qui en est désormais seule détentrice. La description se trouve dans le recueil de l’association de la Noblesse en page 617 : Grisar: d’azur à trois poissons d’argent, lorrés de gueules, posés en pal, rangés en fasce, surmontés de trois étoiles à six rais d’or”.
2/ Ce blason fut élaboré par Henri François Joseph (frère de Barthélémy François et oncle de Bathel), dans le cadre d’une donation pour un vitrail à l’Eglise Ste Croix à Liège et dont Henri François Joseph fut Président de la Fabrique d’Eglise. Ce vitrail date de +/- 1860 et le blason qui s’y trouve (encore visible à ce jour) ne peut être considéré comme un blason « ancien régime ».
Il est probable qu’Henri François Joseph se soit inspiré, d’une esquisse de blason attribué à Aleyde (ou Heluy) Dewandre, soeur de Henri-Joseph et épouse d’Antoine-Marin Mélotte. On trouvera trace de cette esquisse dans un document de J.J. van den Berg à la Bibliothèque de l’ Université de Liège, salle des manuscrits, volume 1608 page 320.
Il faut rappeler également qu’Henri François Joseph fut Membre du Congrès National et que c’est dès lors à lui qu’il y a lieu de rattacher notre nom Dewandre qui figure sur la colonne du Congrès à Buxelles.
A noter enfin que Henri François Joseph qui épousa à Liège, Caroline Célestine de Macar le 18 mai 1820, n’a plus de descendants portant le nom Dewandre tandis que la descendance masculine de Barthel, fils de Barthélémy François a fait l’objet, dans la revue ”Le Parchemin”, d’une notice généalogique.
Bruno Dewandre Février 1998 | Objet média | Annonce de mariage de Georges de Prelle de la Nieppe avec Gabrielle Dewandre Format : image/jpeg Dimensions de l’image : 576 × 466 pixels Taille du fichier : 181 Ko Type : Photo LE MONDE -
Ce jeudi 23 (novembre 1899), dans l'église St-Jacques, le mariage de Mlle Gabrielle-Louise-Marie-Joseph Dewandre, fille de M. et Mme Georges Dewandre-Minette, avec M. Georges-Charles-Louis de Prelle de la Nieppe, ingénieur, fils de Charles-Emmanuel-Léon, avocat-général à la Cour de cassation à Bruxelles, et de Mme née Adolphine-Thérèse Simons. | Dernière modification | 8 juillet 2015 – 17:49:13
par : apn | |
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